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LA SOPHROLOGIE

Au croisement de l’hypnose moderne, de la relaxation occidentale et de certaines formes de méditations orientales adaptées, la sophrologie, créée par le neuropsychiatre Alfonso Caycedo en 1960, permet à chacun de trouver de nouvelles ressources en lui-même et d’améliorer sa qualité de vie.

 

Magique ? Non ! Ma pratique se dissocie totalement de tout dogme, toute interprétation ésotérique ou toutes dérives sectaires. Certes, l'impact sur la personne est devenu incontestable et prouvé scientifiquement, tant sur le plan physique que psychique. Cependant, cette méthode nécessite rigueur, régularité et engagement de la personne, à l'image de la pratique d'un sport.

Le sophrologue possède une palette de techniques inspirées du YOGA, du Bouddhisme, du ZEN et de techniques psycho-corporelles qui aide la personne la personne à s'orienter vers le positif. Il ne s’agit pas ici de « voir la vie en rose » ou de se détacher de la réalité ; les difficultés , le «négatif » étant inhérents à la vie. L'idée est de sortir d’une vision non réaliste ou négative pour voir les choses telles qu’elles sont (dans la limite du possible), et renforcer le positif que nous avons tous en nous.

Une technique amène la personne dans un niveau de conscience entre la veille et le sommeil et l'aide à se connecter à ses sensations et à se relier à son processus interne. 

 

Le sophrologue la pratique avec la personne et lui adapte un protocole spécifique. Chaque séance de sophrologie est riche de clés. Pratiquer cinq à dix séances, permet de laisser son corps et son esprit s'approprier de multiples solutions. Car l'enjeu de la sophrologie, c'est de rendre la personne autonome, libre, à nouveau créatrice de nouvelles possibilités pour sa santé, sa vie, ses émotions.

Il existe en chaque être une dynamique naturelle, une capacité de créativité renouvelée, qui agit en vue de la réalisation de son potentiel.

"Je vois les membres de l’espèce humaine comme les membres des autres espèces comme essentiellement constructifs dans leur nature fondamentale, mais endommagés par leurs expériences. » Carl Rogers

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